Un CDEN s’est tenu le mardi 7 octobre avec deux points à l’ordre du jour :

  • une modification de sectorisation sur Pau
  • les capacités d’accueil de trois collèges publics

La délégation Unsa Éducation était représentée par Patricia ESCAPIL, Marie-Laure CRUTCHET, Mickael GUERIN-BOUHABEN et Eric SAYERCE-PON.

La déclaration liminaire est disponible ICI.

1. Modification de la sectorisation sur Pau

Il a été décidé d’engager une refonte de la sectorisation entre les trois collèges publics palois afin de rééquilibrer les effectifs tout en tenant compte du bassin de vie, des transports et de l’IPS (Indice de position sociale).
Un travail d’analyse précis a été lancé pour étudier les différentes possibilités de réorganisation entre ces établissements, appuyé sur une étude du vieillissement des cohortes.
Des réunions sont prévues dans les écoles concernées afin d’apporter un cadre rassurant et d’accompagner les familles et les usagers dans cette évolution.
L’Unsa Éducation a salué le travail engagé, qui répond à un besoin réel, mais a regretté que cette réflexion n’ait pas été élargie à l’ensemble des établissements du territoire, publics comme privés.
Nous avons demandé que les établissements concernés continuent à bénéficier des moyens supplémentaires et de l’accompagnement particulier qui leur sont actuellement attribués, afin que les efforts de rééquilibrage soient pleinement efficaces.
Nous avons également rappelé qu’il serait nécessaire, à terme, de créer au moins un collège supplémentaire sur Pau, afin de garantir des établissements de taille raisonnable.
Les problèmes du bâti et des locaux ont également été évoqués.
Enfin, nous avons redit notre opposition au financement du privé.

Vote : 11 abstentions

2. Capacités d’accueil de trois collèges publics

Le second point à l’ordre du jour concernait les collèges Errobi à Cambo, Maurice Ravel à Saint-Jean-de-Luz et Henri Barbusse à Boucau.

  • À Boucau, l’ouverture d’une Ulis à la rentrée explique l’augmentation de la capacité d’accueil.
  • À Cambo et Saint-Jean-de-Luz, les travaux de restructuration ont conduit à la création de salles plus grandes, mais moins nombreuses, ce qui diminue le nombre de divisions possibles et donc la capacité globale.
    Il se sont appuyés sur des projections d’effectifs jusqu’en 2030. Le taux d’occupation des salles atteint 85 %.

Nous avons rappelé qu’avec la mise en place des groupes de travail et d’enseignement, les salles sont en réalité occupées en permanence, y compris les salles spécialisées, ce qui pose des difficultés importantes d’organisation.


Vote : 11 abstentions


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