Lors du conseil départemental de formation en juin 2025, le plan de formation a mentionné la journée de solidarité pour les enseignant·es du 1er degré… avec une durée fixée à 7 heures.
Nous contestons cette interprétation : l’arrêté du 4 novembre 2005 stipule clairement que pour les enseignant·es, cette journée doit durer une journée, éventuellement fractionnée en deux demi-journées, et non 7 heures. La mention de sept heures ne concerne que les autres personnels.
Nous avons donc demandé au DASEN de revenir sur cette obligation et de respecter la réglementation.
La charge de travail des enseignant·es ne doit pas être alourdie inutilement !
Retrouvez le courrier intersyndical ci-dessous.